Programme:
16h30, thé de la fraternité
17h00-17h30: hadith (récit donc lecture)
17h30-18h30: Mahadith (échange debat)

Sur les Chroniqueurs, les exégètes et les poètes magiques de Dzaoudzi, il est écrit et je cite:

« On dispose pour Mayotte d’un inventaire des textes (…) qui furent recueillis dans des conditions particulières par l’administrateur colonial (…) de 1916 à 1921.

Il était en poste à Dzaoudzi.

Il fit confisquer dans l’île de Mayotte, 65 livres présentés comme des manuscrits arabes imprimés en usage chez « les Mwalimu » et « Foundi ».  »

Fin de citation.

La citation ci-dessous nous montre l’intensité de la vie intellectuelle et de l’écriture dans la société des érudits de Mayotte en général et de Dzaoudzi en particulier durant des siècles depuis le XVI è.

À M’bouanatsa, partant de cette littérature, nous révélerons sens et symbole à travers le drame de la famille royale de Dzaoudzi de Salim II à BOINA KOMBO II (Fin 18e mi 19e siècle).